J’avais fière allure à San Sebastian, au volant de la version ultime de l’Opel Grandland X : l’Ultimate. A l’extérieur : toit à ton dissocié, jantes en alliage 19 pouces, coques de rétro noires et, dans l’habitacle, sellerie cuir, surpiqûres pour une ambiance cosy et pédalier en alumimium. Ca tombe bien. Esthétiquement, mieux vaut aujourd’hui se démarquer pour jouer des coudes dans un univers SUV plus large que jamais.

Photo Michel Holtz

Mon Opel Grandland X a pris du poil de la bête : elle s’équipe du 2.0 diesel et de la boite automatique à 8 rapports que j’ai déjà testé sur la nouvelle Peugeot 3008. Et cette finition Ultimate regorge d’équipements : GPS sur l’écran de 8 pouces, compatibilités Apple CarPlay et Android Auto, recharge smartphone par induction, quatre sièges chauffants, système audio Denon 9 HP, caméra 360° et projecteurs LED adaptatifs.

Pas de palette au volant. Cela n’empêche pas les 180 ch de se libérer pour autant. J’ai trouvé beaucoup de répondant. Il faut dire que grâce à Peugeot, Opel découvre les bienfaits d’une cure amaigrissante (1575 kg). Mais, pour obtenir cette taille de guêpe, le Grandland X a malheureusement dit adieu à la transmission 4×4. Moins génial sous la pluie. En revanche, le châssis est précis, le maintien de caisse parfait et le confort bien présent.

Pour les familles qui cherche un SUV capable d’avaler de nombreux kilomètres, on trouve de belles places à l’arrière et un coffre de 514 à 1 652 l . Niveau conso, compter 5.3l/km en ville et 4.6l/km sur route (4.9l/km en mixte).

Prix : à partir de 25 750 euros